actu des stars

she's back

La maison de disques Jive Records a officiellement confirmé la sortie du nouvel album de Britney Spears le 13 novembre. Le titre de cet opus n'a pas encore été dévoilé, mais on peut d'ores et déjà écouter le premier single de Brit-Brit, Gimme More, sur le web. La nouvelle doit ravir tous ses fans qui ont eu quelques frayeurs la semaine dernière. Britney devait, en effet, enregistrer le titre Get Back, avec son ex Justin Timberlake, mais elle a annulé la séance au dernier moment pour raison indéterminée. Que tout le monde se rassure désormais, le retour de Britney est imminent !

Le ténor Luciano Pavarotti nous a quittés !

Une grande voix s’éteint !


Le célèbre ténor italien Luciano Pavarotti, 71 ans, opéré en juillet 2006 d'un cancer du pancréas et hospitalisé depuis début août, est décédé très tôt ce jeudi 6 septembre 2007 dans sa résidence de Modène. Dès mercredi soir, les médias italiens avaient fait état d'une brusque aggravation de son état de santé. Toutes nos pensées vont à ses proches.

La mélodie en deuil

Géant parmi les ténors, Pavarotti s’en va


• Avec son tempérament fougueux et son rayonnement intérieur, son souci des détails et son potentiel vocal, sa mort prend des proportions de perte irréparable.

C’est dans sa ville natale de Modène que le grandissime Luciano Pavarotti est venu rendre l’âme, vaincu par un cancer du pancréas qu’il a traîné ces deux dernières années.
Face à la mort, le chêne a rompu. Le plus célèbre des ténors, la voix divine qui a triomphé sur les plus grandes scènes du monde en attribuant les honneurs les plus exceptionnels au répertoire romantique italien est parti sur la pointe des pieds rejoindre une autre grande étoile dans le firmament des immortels, le séjour paradisiaque du Walhalla. Il s’agit de La Callas, remarquable soprano par la virtuosité vocale et l’expressivité dramatique.
C’est en avril 1961 que la légende se met en marche. Et c’est à Palerme, précisément, que débute sa carrière, avec le rôle de Rodolfa (La Bohême). En 1962, il se produit à La Scala de Milan avec «La Traviata» et en 1965 au Festival des Arènes de Vérone.
Sacré meilleur ténor de son époque, il s’impose par les qualités indéniables de sa voix. Sa carrière internationale démarre en 1964 à l’opéra de Vienne. Il chante à Amsterdam, ensuite au Festival de Glyndebourne, en Grande-Bretagne, avant de faire ses débuts américains au Greater Miami Opera aux côtés de Joan Sutherland avec qui il part en tournée à la conquête de l’Australie.
En 1967, il investit l’Opéra de San Francisco et, l’année suivante, le Metropolitan Opera où il se produira durant 28 années successives. D’autres salles d’opéra américaines lui ouvriront leurs portes.
En 1984, il donne un concert mémorable devant 600.000 spectateurs au stade du Madison Square de New York.
En 1990, il se produit dans les Thermes de Caracalla à Rome avec les ténors Placido Domingo et Jose Carreras. Ce fut le premier des désormais «Concert des trois ténors».
Surnommé le ténor de légende et le roi du contre ut, Luciano Pavarotti a redonné au bel canto ses lettres de noblesse avec le succès phénoménal et planétaire «O sole mio». Ne délaignant aucun genre, il a généreusement accepté de chanter avec Sting, Elton John, Céline Dion et même avec les Spice Girls.
Gourmand de la vie, il l’a mordue à belles dents sans rien se refuser, en allant au bout de sa passion sans jamais prêter attention à la raison

Décès de Jacques Martin, animateur de télévision populaire et insolent


PARIS (AFP) - L'animateur Jacques Martin , qui avait fait souffler un vent d'impertinence à la télévision avec son émission "Le petit rapporteur", est décédé vendredi à l'âge de 74 ans à Biarritz, où il vivait retiré, à demi-paralysé à la suite d'un accident cérébral.

Une pluie d'hommages s'est abattue sur cette figure incontournable du paysage audiovisuel français pendant plus de trente ans, avec une belle unanimité pour relever son impertinence, son culot, et son talent. Les télévisions ont bouleversé leurs programmes pour lui faire une dernière place.
La ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel a rendu hommage à un "esprit libre, impertinent, très drôle et bourré de talents".
"Jacques avait un talent extravagant. C'était un être complexe et attachant. +Le petit rapporteur+ a été l'invention d'un ton nouveau à la télévision", a souligné son complice de l'époque Stéphane Collaro.
"C'était un artiste complet. Il savait tout faire et avait tous les dons: il savait danser, faire des claquettes, jouer la comédie, chanter, écrire... C'était le roi de l'improvisation", souligne Philippe Bouvard, animateur des "Grosse Têtes" sur France 2.
"Je veux distraire, être populaire sans être populeux", expliquait Jacques Martin.
Car cet amuseur était un homme de grande culture, passionné d'art lyrique, d'opérette et de Jean Genet, et un grand amateur de cuisine --son grand-père a travaillé comme chef à la cour du tsar de Russie Nicolas II.
Derrière l'animateur sous les projecteurs se cachait un personnage plus complexe, soulignent nombre de ses proches. "Cet esprit bon enfant, l'envie de rire de tout, c'était sa nature qui contrebalançait un déchirement profond. Il était très introspectif et inquiet", souligne Stéphane Collaro. "Il ne savait pas être heureux", enchaîne Philippe Bouvard.
Jacques Martin était père de huit enfants, nés de quatre unions différentes, dont celle, en 1984, avec Cécilia Ciganer-Albeniz, future Cécilia Sarkozy, avec laquelle il a eu deux filles, Judith et Jeanne-Marie.
Il est né le 22 juin 1933 à Lyon, d'un père industriel qui meurt lorsqu'il a 5 ans. Il passe plusieurs années --malheureuses-- dans un collège tenu par des Dominicains, avant de monter à Paris à l'âge de 15 ans pour devenir comédien.
Il suit les cours de Charles Dullin puis enchaîne les petits boulots. Il fait ensuite de la radio, se produit à Bobino, compose une comédie musicale, "Petitpatapon".
En 1975, il lance sur TF1, chaîne encore publique, l'émission dominicale qui deviendra l'un des plus grands succès de l'histoire de la télévision: "Le petit rapporteur". Satirique et insolente, l'émission brocarde avec férocité la classe politique, bien avant "Les Guignols", pendant ses 18 mois d'existence.
Puis il passe sur Antenne 2: "Dimanche Martin", "L'Ecole des fans", où des enfants viennent chanter les succès du chanteur invité.
Victime d'un accident cérébral au printemps 1998 qui le laisse à moitié paralysé, il voit son contrat avec France 2 s'arrêter à l'été. Il participe occasionnellement à une émission radiophonique avec Laurent Ruquier, qui avait démarré à ses côtés, avant de vivre complètement retiré à Biarritz.

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